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Le métier dont rêvait Akon va beaucoup vous surprendre
Akon a fait beaucoup de confidences sur sa vie et sa carrière dans une interview publiée ce samedi par le quotidien L’Observateur
Akon a fait beaucoup de confidences sur sa vie et sa carrière dans une interview publiée ce samedi par le quotidien L’Observateur et exploitée de l’émission « Un tour avec… » de la TFM.
Alioune Badara Thiam de son vrai nom a retracé son chemin vers la musique, révélé son métier de rêve, fait des confidences sur sa collaboration avec la défunte du pop Michael Jackson, entres autres.
« Ma fibre artistique je la tiens de mon père et elle s’est développée en moi depuis ma tendre enfance, même si je ne pensais pas que j’allais devenir un artiste. », retrace Akon.
« je rêvais de devenir médecin », dixit Akon
Il poursuit : « Je rêvais d’être un médecin. Toutefois, à chaque fois qué mon papa allait en studio ou à des concerts, il m’emmenait avec lui. De fil en aiguille, j’ai attrapé le virus de l’Art. J’ai commencé par jouer du Djembé comme mon père, avant de progresser vers la guitare et d’autres instruments. J’ai poussé la curiosité jusqu’aux technologies, avant de chanter ».
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Akon : « mon timbre, c’est ce qui rend particulier »
Pour le micro, poursuit l’artiste né à Saint-Louis dans le Missouri, « c’est seulement lorsque j’ai commencé à écrire des chansons pour des artistes, que j’ai eu un déclic. Je servais de voix témoin. J’essayais les morceaux et je posais ma voix dessus, C’est à partir de là que certains producteurs l’ont remarqué et se sont demandés qui chantait. Ils voulaient savoir qui se cachaient derrière cette voix. Les choses sont partis de là…Mon timbre, c’est ce qui me rend particulier. On le distingue parmi beaucoup d’autres et je peux dire que c’est du ressort de Dieu. C’est un don. Malgré tout, j’ai poursuivi mes études. Mes parents étaient très stricts et ne badinaient pas avec ça, en particulier ma mère qui est une femme très brillante. Elle a beaucoup contribué à la carrière de mon père et était sa danseuse. Sauf qu’elle ne croyait pas trop au Rap. Pour elle, c’était plus de bruit qu’autre chose. Il a fallu qu’elle me voit évoluer dans le Rap et voler de mes propres ailes, pour qu’elle s’y intéresse et me soutienne. Chemin faisant, je devenais de plus en plus célèbre. On m’invitait sur les plateaux-télés. A un moment donné, j’ai fait partie du groupe des Fugees avec Wyclef Jean. Et c’est après cette aventure que, j’ai entamé ma carrière solo. Mon premier tube est sorti en 1985 et c’était un succès en demi-teinte. Ce n’était pas évident de voir sa chanson passer à la radio. Quand c’est arrivé, j’avais du mal à y croire mais mon euphorie est vite tombée. Je croyais toucher le ciel… avant de redescendre très vite sur terre. Je me suis quelque peu découragé et j’ai commencé à me tourner vers d’autres horizons ».
